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Jardin, Alexandre 
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Un jour, Alexandre Eiffel s'aperçoit avec effroi qu'il est
devenu une grande personne, un empaillé de trente-huit ans. Esclave de son agenda, il ne copule plus guère et se prélasse sans honte dans la peau d'un mari domestiqué, indigne du petit garçon rebelle et vivant qu'il fut, celui à qui son papa disait: « Le Petit Sauvage, tu es un fou! » Alexandre décide de réveiller l'enfant en lui. Il quitte l'épouse qui lui servait de bouillotte, rachète la maison où vécut le « Petit Sauvage », part
retrouver la Société secrète des Crusoé et surtout Fanny, son bateau bleu et ses lèvres inoubliables. Mais les ans ont passé et le retour aux amours enfantines ne pourra se faire que grâce à Manon, la contrôleuse des volcans, qui fit si bien l'amour dans les branches des arbres. Adulte qui joue à l'enfant, enfant qui joue à l'adulte.
Je crois que je n'accroche pas à cet auteur. J'ai trouvé ce livre surfait, j'ai eu l'impression qu'Alexandre Jardin se FORÇAIT véritablement à jouer à l'enfant, se forçait à mettre de la passion dans son écriture. Comme la dernière
fois, les anecdotes sont rigolotes, le livre se laisse lire facilement, mais cette fois encore j'ai l'impression d'avoir terminé un livre sans consistance. Je n'ai pas cette satisfaction que j'ai d'habitude en fermant un livre.
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Fabienne Pouliquen
(30 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Romance
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avant 2001
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Jardin, Alexandre
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J'ai adoré ce livre, pour sa fraîcheur candide, sa vérité, sa
simplicité. A vrai dire, celui-ci a bouleversé ma vie, puisqu'il a provoqué mon divorce - sans pour cela que je renie aucunement mes responsabilités -. Bien sûr, on est embarqué dans un rêve. Mais où se situent les limites entre le rêve et la réalité? Et pourquoi ne pas tout tenter pour que cette réalité s'approche le plus possible de nos rêves? Ce livre a le mérite, comme tous les autres d'Alexandre Jardin, de remettre les vraies valeurs à leur place: l'amour (dont le côté charnel n'est nullement à négliger), le respect de soi, l'aptitude à rêver et à aller jusqu'au bout de ses rêves, le mépris du matérialisme et du conformisme...
J'ai lu depuis lors, du même auteur, Le Zubial, et l'Ile des Gauchers. De la même trempe tous deux! La 5e étoile manquante à mon appréciation est due à la fin de l'histoire, d'une tristesse infinie. J'aurais souhaité, personnellement, une fin plus heureuse et méritante pour le
héros de ce livre. Néanmoins, je conseille vivement la lecture de ce bouquin à tout un chacun, spécialement à l'approche de la quarantaine...
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Thierry Pignolet
(première critique)
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Genre : Romance
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| | | Date :
avant 2001
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